-Nous appliquons l'écriture inclusive suivant les consignes de l'Office québécois de la langue française sur la [formation des noms féminins](https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/23935/la-redaction-et-la-communication/feminisation-et-redaction-epicene/feminisation-des-appellations-de-personnes/formation-dappellations-de-personnes-au-feminin/formation-du-feminin-des-appellations-de-personnes) et la [rédaction épicène](https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/23912/la-redaction-et-la-communication/feminisation-et-redaction-epicene/redaction-epicene/principes-generaux-de-la-redaction-epicene), mises en place en 2002, ainsi que du [Guide d’aide à la féminisation des noms de métiers, titres, grades et fonctions](https://medias.vie-publique.fr/data_storage_s3/rapport/pdf/994001174.pdf), publié par l'Institut national de la langue française en 1999. Ces deux textes se recoupent largement et constituent des guides de base pour l'équipe du _Programming Historian en français_. En revanche, nous n'avons pas recours à l'utilisation du point médian (ou point milieu) ou de tirets. Ainsi, nous évitons d'écrire « les historien·ne·s » ou « les historien-ne-s »; nous privilégions à la place « les historiens et historiennes » ou encore « les historien(ne)s », pour éviter d'alourdir le texte. De même, nous pouvons faire recours à l'emploi d'un nom collectif, en parlant, par exemple, du lectorat du *Programming Historian* plutôt que des lecteurs et des lectrices ou des utilisateurs et des utilisatrices.
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